Jean GUYON

Birth:
Abt Sep 1592
St. Aubin, Tourouvre, Perche, France
Chr:
18 Sep 1592
Paroisse de Tour, Perche, France
Death:
30 May 1663
Beauport, Quebec, Canada
Burial:
3 May 1663
Quebec, Quebec, Canada
Marriage:
2 Jun 1615
Saint Jean, Mortagne, Paris, France
Mother:
Notes:
                   	1  NAME Jean/Guyon/
	1  PLAC St-Aubin,Tourouvre,Mortagne,France
	1  GIVN Jean
	1  SURN Guyon
	1  PROP concession de l'arri
	2  DATE 14 March 1634
	1  NAME /Guyon-Dion/



Name, Birth, Death & Marriage source FamilySearch.org Christopher FOISY 380 Ave Paquin Lasalle, Quebec, H8R2V8 Canada


engaged by Robert Giffard March 14, 1634; mason; granted the arriere-fief Dubuisson in Beauport March 14, 1634.


REFN: 5518


engag


traduction editee d'un texte obtenu d'Elaine Levesque, Compuserve74641,3415: JEAN GUYON AVANT SON DEPART POUR LE CANADA (Mme Pierre Montagne, Paris,publie dans la Revue de Genealogie Canadienne-Francaise et Acadienne)
    Jean Guyon, qui signait "Guion" d'une facon petite et elegante, estl'ancetre non seulement d'une multitude de Guyons, mais aussi de Dions, Dionnes, et plusieurs autres Nord-Americains.  L'interet qu'il suscite en ses descendants et manifeste dans quelques lettres que j'ai recues apres la publication de "Tourouvre et lesJuchereau (1), m'a encourage a poursuivre mes recherches sur Tourouvre en Mortagne,ou, j'eu acces aux notes de Messieurs Farce et Pierre Debray, auxquelsj'exprime ma plus grande gratitude.
   La famille de Jean Guyon
    On retrouvre son pere, Jacques Guyon, pour la premiere fois a Tourouvre, lundi le 6 janvier 1578, ou il est temoin d'une vente de terrain aAutheuil. Il est dit qu'il ne peut signer son nom.  Son nom est nouveau dans la region, bien que l'annee precedente, le 29 janvier 1577, Mathurin Guyon, marchant a Mamers, dans la vieille provincedu maine, ait loue la somme de 90 livres a M. Jean de Bleuves, pasteur de Bivillers. Les registres de Mamers ne remontent pas aussi loin. M.Chevalier, notaire en ville, deposa aux archives departementales de la Sarthe des documents dates d'apres 1642. Les autres ont disparus.  Jacques Guyon habitait a Tourouvre, ou il agit encore comme temoin le dimanche 13 aout 1581;et vendredi,le 15 avril 1583, lui et son epouse,Marie Huet, se font mutuellement don de survie. Ce document, cache parmi tant d'autres, est le seul qui nous communique le nom de la mere de Jean Guyon.  Jean Guyon, lui-meme, est baptise le 18 septembre1592; ses parrainssont Jean Collin et Pierre Dolivet, sa marraine Catherine Goddin (2).  Il passa son enfance a Tourouvre, ou, dimanche, le 21 novembre 1604,Jacques Guyon, son pere, est mentionne parmi les notables qui elurent un procureurcomme representant de leurs affaires communes.  Le 18 mai 1614, Jean Guyon dont la petite et enjouee signature, comme de petits drapeaux dans le vent, est aiseement reconnaissable parmi les plusieurs ecritures illigibles, prete a PantaleonBigot, fermierd'Autheuil, une somme qui consiste en "un petit pistol d'or, des pieces decinquante-deux sous, des quart de couronnes et autres pieces d'argent", pour une valeurtotale de 84 livres. Il est deja macon accompli en affaires, bienqu'age deseulement 22 ans. Il pense deja a commencer une famille et a laisser ses parentsseuls dans leur maison, avec leurs voisins, Marin Lousche, fils de Francois, les enfants de Robert Mullard (3) et le seigneur de Tourouvre (4).  Commesa soeur, et peut-etre a cause de son marriage, il trouve sonepouse a Mortagne. Le pasteur de St-Jean-de-Mortagne note que "le 12 juin 1615,Jehan Guyon, de la paroisse de Tourouvre, et Mathurine Robin, de cette paroisse, furent maries."  On trouve aussi une commande de Tourouvre datee du 30 novembre 1615pour une pile de pierres, a etre fournie par Jean Guyon, pour le clocher del'eglise de St-Aubin (5). Le maitre macon avec lequel il travaille est Jean Froger,dont la maison est pres de la sienne, dans la paroisse de St-Jean de Mortagne.C'est dans cette maison que ces enfants furent nes: Barbe, le 18 avril 1617 Jean, le 1er aout 1619 Simon, le 2 aout 1621 Marie, le 18 mars 1624 Marie, le 29 janvier 1627
   Jehan Guyon et le clocher de l'eglise de St-Aubin
    A l'entree de l'eglise, a gauche, le cadre de porte de Pierre Blancheouvre sur les 31 marches qui montent au deuxieme etage du clocher.  Le 30 novembre 1615, a la maison de Mace Pichon, sous l'embleme duCheval Blanc, les paroissiens de Tourouvre, representes par quatre des leurs, demandent a Jehan Froger et Jehan Guyon, macons, habitants en la paroissede St-Jean de Mortagne, de remplacer un escalier de bois qui etait en ces jours(6). Ces vielles marches ont depuis ete recouvertes de ciment et ontrecu un bord de fer, mais on n'a qu'a se lever la tete pour en voir le dessous, tel qu'obtenu des mains de l'artisan. La main de Jean Guyon etait assezstable pour ecrire un acte digne d'un notaire (7). Il fut ecrit pour le depart de Robert Giffard en 1634 avec son epouse et ses six derniers enfants (8),l'aine ayant 18 ans, et le plus jeune, ne le 3 mars 1634, n'ayant que quelquesmois.  Un violente tempete detruit le clocher samedi, le 15 janvier 1707 (10).Il tomba par manque d'entretien. Deja, le dimanche 20 juin 1677, Rene Rogeret Pierre Maheux, marguilliers en charge des proprietes de l'eglise, avaient informe le seigneur et autres, a la fin des Vepres, que plusieursreparations etaientnecessaires, et que ceci avait ete annonce au sermon, afin detrouver un charpentier. Robert Chasteau et deux compagnons s'etaient offerts pourla somme de 50 sols par jour.  Ceci fut accepte d'emblee car il n'y avait pas de charpentier demeilleure reputation que lui pour un travail aussi difficile et dangereux. Est-ceque le travail fut mal fait? Est-ce que les 30 ans suivants causerent plus de dommages? On ne peut que se le demander quand on admire le profil duvillage, et quel'on se demande ce qu'il a perdu avec la chute de son clocher.
   La carriere de Jean Guyon
   Mortagne aussi a reconnu les talents de Jean Guyon. Il a travaille a la fortification de ses murs, dont plusieurs sections tiennent encore. Cette commande fut signee le 21 juillet 1625 par M. Jehan Ailleboust (12),procureur syndical de lapopulation de Mortagne, avec promesse d'une avance de 150 livres, et de livrer les echafaudages, de l'eau, de la chaux et dusable...  C'est a ce moment que notre ancetre s'est rendu compte que l'honneurpeut etre couteux et que les paiementsdes villes sont rarement a temps. Le 22aout, accompagne de M. Mathurin Roussel, il se rendit a l'Auditoire pourinsister que l'argent et les materiaux soient livres de facon a ce qu'il puisse"travailler et faire travailler les autres" aux murs. Le tout lui fut promis pour le mercredi suivant. Jean Guyon etait donc a la tete d'une entreprise d'une certaine importance. Mais la ne fut pas la fin de ses problemes pour avoir accepte de travailler sur un projet public.  On le retrouve encore avec des problemes semblables le 13 octobre quand, ayant complete une section de mur, il demande que le travail accompli soit mesure, qu'il soit paye et qu'une nouvelle avance soit faite, ou ildemandera a etre dedommage pour sontravail et il quittera ce chantier a tout jamais.On lui promet que le mur sera mesure le lendemain et qu'il sera paye par le receveur-general. Mais, si Jean Guyon a continue a travailler a ce mur, il a du persevereavec ses demandes legalescar le receveur general, Rene Gentil, d'apres une ordonnance datee du 12 juin 1627 lui donna 101 livres des 250 qui luietaient dues, et son successeur, Jean Pousset, cent de plus, en 1633.  Il devait avoir d'autres travaux en chantier pourlesquels il etaitpaye plus promptement pour survivre.  Comme maitre macon, Jean Guyon eut plusieurs apprentis. On en connaitdeux. Le premier contrat d'apprentissage, passe devant M. Sebastien Roussel le22 avril 1626 etait avec Pierre Hayes,fils d'Ambroise, qui habitait la meme paroisse de St-Jean. Pendant trois ans, a partir de la Pentecote, lemaitre lui apprit le metier de macon, lui fournissant aussi nourriture, conseil etabri. En echange, l'apprenti servira son maitre avec loyaute et lui lui donnera trente livres comme pension pour trois ans. Il est entendu que si le jeune Pierre n'est pas satisfait dudit Guyon, il est libre de partir apres sixmois, apres avoir paye ses depenses, avec le titre d'expert. Le


traduction editee d'un texte obtenu d'Elaine Levesque, Compuserve74641,3415: JEAN GUYON AVANT SON DEPART POUR LE CANADA (Mme Pierre Montagne, Paris,publie dans la Revue de Genealogie Canadienne-Francaise et Acadienne)
    Jean Guyon, qui signait "Guion" d'une facon petite et elegante, estl'ancetre non seulement d'une multitude de Guyons, mais aussi de Dions, Dionnes, et plusieurs autres Nord-Americains.  L'interet qu'il suscite en ses descendants et manifeste dans quelques lettres que j'ai recues apres la publication de "Tourouvre et lesJuchereau (1), m'a encourage a poursuivre mes recherches sur Tourouvre en Mortagne,ou, j'eu acces aux notes de Messieurs Farce et Pierre Debray, auxquelsj'exprime ma plus grande gratitude.
   La famille de Jean Guyon
    On retrouvre son pere, Jacques Guyon, pour la premiere fois a Tourouvre, lundi le 6 janvier 1578, ou il est temoin d'une vente de terrain aAutheuil. Il est dit qu'il ne peut signer son nom.  Son nom est nouveau dans la region, bien que l'annee precedente, le 29 janvier 1577, Mathurin Guyon, marchant a Mamers, dans la vieille provincedu maine, ait loue la somme de 90 livres a M. Jean de Bleuves, pasteur de Bivillers. Les registres de Mamers ne remontent pas aussi loin. M.Chevalier, notaire en ville, deposa aux archives departementales de la Sarthe des documents dates d'apres 1642. Les autres ont disparus.  Jacques Guyon habitait a Tourouvre, ou il agit encore comme temoin le dimanche 13 aout 1581;et vendredi,le 15 avril 1583, lui et son epouse,Marie Huet, se font mutuellement don de survie. Ce document, cache parmi tant d'autres, est le seul qui nous communique le nom de la mere de Jean Guyon.  Jean Guyon, lui-meme, est baptise le 18 septembre1592; ses parrainssont Jean Collin et Pierre Dolivet, sa marraine Catherine Goddin (2).  Il passa son enfance a Tourouvre, ou, dimanche, le 21 novembre 1604,Jacques Guyon, son pere, est mentionne parmi les notables qui elurent un procureurcomme representant de leurs affaires communes.  Le 18 mai 1614, Jean Guyon dont la petite et enjouee signature, comme de petits drapeaux dans le vent, est aiseement reconnaissable parmi les plusieurs ecritures illigibles, prete a PantaleonBigot, fermierd'Autheuil, une somme qui consiste en "un petit pistol d'or, des pieces decinquante-deux sous, des quart de couronnes et autres pieces d'argent", pour une valeurtotale de 84 livres. Il est deja macon accompli en affaires, bienqu'age deseulement 22 ans. Il pense deja a commencer une famille et a laisser ses parentsseuls dans leur maison, avec leurs voisins, Marin Lousche, fils de Francois, les enfants de Robert Mullard (3) et le seigneur de Tourouvre (4).  Commesa soeur, et peut-etre a cause de son marriage, il trouve sonepouse a Mortagne. Le pasteur de St-Jean-de-Mortagne note que "le 12 juin 1615,Jehan Guyon, de la paroisse de Tourouvre, et Mathurine Robin, de cette paroisse, furent maries."  On trouve aussi une commande de Tourouvre datee du 30 novembre 1615pour une pile de pierres, a etre fournie par Jean Guyon, pour le clocher del'eglise de St-Aubin (5). Le maitre macon avec lequel il travaille est Jean Froger,dont la maison est pres de la sienne, dans la paroisse de St-Jean de Mortagne.C'est dans cette maison que ces enfants furent nes: Barbe, le 18 avril 1617 Jean, le 1er aout 1619 Simon, le 2 aout 1621 Marie, le 18 mars 1624 Marie, le 29 janvier 1627
   Jehan Guyon et le clocher de l'eglise de St-Aubin
    A l'entree de l'eglise, a gauche, le cadre de porte de Pierre Blancheouvre sur les 31 marches qui montent au deuxieme etage du clocher.  Le 30 novembre 1615, a la maison de Mace Pichon, sous l'embleme duCheval Blanc, les paroissiens de Tourouvre, representes par quatre des leurs, demandent a Jehan Froger et Jehan Guyon, macons, habitants en la paroissede St-Jean de Mortagne, de remplacer un escalier de bois qui etait en ces jours(6). Ces vielles marches ont depuis ete recouvertes de ciment et ontrecu un bord de fer, mais on n'a qu'a se lever la tete pour en voir le dessous, tel qu'obtenu des mains de l'artisan. La main de Jean Guyon etait assezstable pour ecrire un acte digne d'un notaire (7). Il fut ecrit pour le depart de Robert Giffard en 1634 avec son epouse et ses six derniers enfants (8),l'aine ayant 18 ans, et le plus jeune, ne le 3 mars 1634, n'ayant que quelquesmois.  Un violente tempete detruit le clocher samedi, le 15 janvier 1707 (10).Il tomba par manque d'entretien. Deja, le dimanche 20 juin 1677, Rene Rogeret Pierre Maheux, marguilliers en charge des proprietes de l'eglise, avaient informe le seigneur et autres, a la fin des Vepres, que plusieursreparations etaientnecessaires, et que ceci avait ete annonce au sermon, afin detrouver un charpentier. Robert Chasteau et deux compagnons s'etaient offerts pourla somme de 50 sols par jour.  Ceci fut accepte d'emblee car il n'y avait pas de charpentier demeilleure reputation que lui pour un travail aussi difficile et dangereux. Est-ceque le travail fut mal fait? Est-ce que les 30 ans suivants causerent plus de dommages? On ne peut que se le demander quand on admire le profil duvillage, et quel'on se demande ce qu'il a perdu avec la chute de son clocher.
   La carriere de Jean Guyon
   Mortagne aussi a reconnu les talents de Jean Guyon. Il a travaille a la fortification de ses murs, dont plusieurs sections tiennent encore. Cette commande fut signee le 21 juillet 1625 par M. Jehan Ailleboust (12),procureur syndical de lapopulation de Mortagne, avec promesse d'une avance de 150 livres, et de livrer les echafaudages, de l'eau, de la chaux et dusable...  C'est a ce moment que notre ancetre s'est rendu compte que l'honneurpeut etre couteux et que les paiementsdes villes sont rarement a temps. Le 22aout, accompagne de M. Mathurin Roussel, il se rendit a l'Auditoire pourinsister que l'argent et les materiaux soient livres de facon a ce qu'il puisse"travailler et faire travailler les autres" aux murs. Le tout lui fut promis pour le mercredi suivant. Jean Guyon etait donc a la tete d'une entreprise d'une certaine importance. Mais la ne fut pas la fin de ses problemes pour avoir accepte de travailler sur un projet public.  On le retrouve encore avec des problemes semblables le 13 octobre quand, ayant complete une section de mur, il demande que le travail accompli soit mesure, qu'il soit paye et qu'une nouvelle avance soit faite, ou ildemandera a etre dedommage pour sontravail et il quittera ce chantier a tout jamais.On lui promet que le mur sera mesure le lendemain et qu'il sera paye par le receveur-general. Mais, si Jean Guyon a continue a travailler a ce mur, il a du persevereavec ses demandes legalescar le receveur general, Rene Gentil, d'apres une ordonnance datee du 12 juin 1627 lui donna 101 livres des 250 qui luietaient dues, et son successeur, Jean Pousset, cent de plus, en 1633.  Il devait avoir d'autres travaux en chantier pourlesquels il etaitpaye plus promptement pour survivre.  Comme maitre macon, Jean Guyon eut plusieurs apprentis. On en connaitdeux. Le premier contrat d'apprentissage, passe devant M. Sebastien Roussel le22 avril 1626 etait avec Pierre Hayes,fils d'Ambroise, qui habitait la meme paroisse de St-Jean. Pendant trois ans, a partir de la Pentecote, lemaitre lui apprit le metier de macon, lui fournissant aussi nourriture, conseil etabri. En echange, l'apprenti servira son maitre avec loyaute et lui lui donnera trente livres comme pension pour trois ans. Il est entendu que si le jeune Pierre n'est pas satisfait dudit Guyon, il est libre de partir apres sixmois, apres avoir paye ses depenses, avec le titre d'expert. Le


Also born and baptised at; Tourouvre, Perche, Orne, France. Also died and buried at; Notre Dame, de Quebec, Quebec Canada. Jean Guyon came from Saint Jean de Mortagne, Perche/Orne in France. This family name has also been recorded as Guiondu Buisson and includes dit names such as Dion-Guyon, Dionne, Dion, Dione, Guion du Bisson.  Jean was engaged on 12 MAR 1634 by Robert Giffard, Mason, and received an "arriere-fief" in Beauport which was passed down to his son Jean.
   On September 29, 1623, "honest man, Jehan Guyon, a mason b
                  
Mathurin ROBIN
Birth:
Abt 1592
Saint Jean, Mortagne, Paris, France
Death:
17 Apr 1662
Quebec, Quebec, Canada
Burial:
17 Apr 1662
Quebec, Quebec, Canada
Children
Marriage
1
Barbe GUYON
Birth:
18 Apr 1617
Saint Jean, Mortagne, Paris, France
Burial:
29 Nov 1700
 
Marr:
 
2
Jean GUYON
Birth:
1 Aug 1619
Saint Jean, Mortagne, Paris, France
Burial:
14 Jan 1694
 
Marr:
 
3
Simon GUYON
Birth:
2 Aug 1621
Saint Jean, Mortagne, Paris, France
Death:
8 Feb 1682
Quebec, Quebec, Canada
 
Marr:
 
4
Birth:
29 Jan 1627
Saint Jean, Mortagne, Paris, France
Death:
1 Sep 1696
Cap St. Ignace, Montmagny, Quebec, Canada
Marr:
12 Jul 1637
Beauport, Quebec, Canada 
Notes:
                   	1  NAME Marie  /GUYON/
	2  GIVN Marie
	2  SURN GUYON
	1  NAME /Guyon-Dion/



Birth & Death & Marriage source FamilySearch.org Christopher FOISY 380 Ave Paquin Lasalle, Quebec, H8R2V8 Canada


   from fhc fiche 6016466-6016495
    from fhc fiche 6016466-6016495


REFN: 317


L'Abbe C. Tanguay lists Marie Guyon as being christened in 1618 and buried on 01 SEP 1696 at Cape Saint Ignace.  This would make her 16 when she landed in New France and 19 when she married. This makes more sense than the other scenario.
   This family tree information is predicated on the premise that Marie Guyon was 16 when she came to New France, married Francois at 19 (12 JUL 1637) and gave birth to Nicolas in 1638.  Jette lists Nicolas as having died in 1682 at 50 yearswhich would make his birth year as 1632 and not 1638 as listed by Tanguay (who also says he died at 50 in 1682). If Nicolas was born in 1638 and died in 1682, he died at age 44.


married Francois BELANGER
                  
5
Claude GUYON
Birth:
22 Apr 1629
Saint Jean, Mortagne, Paris, France
Death:
23 Feb 1694
Quebec, Quebec, Canada
 
Marr:
 
Notes:
                   	1  NAME Claude /Guyon/
	2  SURN Guyon
	2  GIVN Claude
	1  NAME Claude /GUYON/
	2  GIVN Claude
	2  SURN GUYON
	1  GIVN Claude
	1  SURN Guyon
	1  PLAC St-Jean,Mortagne,Perche,France
	1  PROP vend sa part de l'arri
	2  DATE 4 August 1660



(de Ste Famille


at recs. 66, 67 and 81, in Ile-d'Orleans; sold his part of the arriere-fief Dubuisson to Jean Crete.


REFN: 3478


   from fhc fiche 6016466-6016495  from fiche 6049365


married Catherine COLIN


REFN: 486


REFN: 486
                  
6
Denis GUYON
Birth:
30 Jun 1630
Saint Jean, Mortagne, Paris, France
Burial:
30 Aug 1685
 
Marr:
 
7
Michel GUYON
Birth:
3 Mar 1634
Saint Jean, Mortagne, Paris, France
Death:
 
Marr:
 
8
Blocked
Birth:
Death:
Blocked  
Marr:
 
9
Blocked
Birth:
Death:
Blocked  
Marr:
 
FamilyCentral Network
Jean Guyon - Mathurin Robin

Jean Guyon was born at St. Aubin, Tourouvre, Perche, France Abt Sep 1592. His parents were Jacques Guyon and Marie Huet.

He married Mathurin Robin 2 Jun 1615 at Saint Jean, Mortagne, Paris, France . Mathurin Robin was born at Saint Jean, Mortagne, Paris, France Abt 1592 daughter of Pierre Robin and Marguerite Gentais .

They were the parents of 9 children:
Barbe Guyon born 18 Apr 1617.
Jean Guyon born 1 Aug 1619.
Simon Guyon born 2 Aug 1621.
Marie Guyon born 29 Jan 1627.
Claude Guyon born 22 Apr 1629.
Denis Guyon born 30 Jun 1630.
Michel Guyon born 3 Mar 1634.
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Jean Guyon died 30 May 1663 at Beauport, Quebec, Canada .

Mathurin Robin died 17 Apr 1662 at Quebec, Quebec, Canada .